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Le Blosne, le Haut-Sancé et le traitement de la vie de quartier

Bonjour,

Suite à la lecture du bilan de concertation de la ZAC du Blosne-Est, voici un petit billet pour mettre en avant les différences de traitement entre les différentes ZAC, et nous interroger.

Récemment, fut mis en avant par Rennes Métropole le bilan de la concertation sur cette ZAC du Blosne-Est : Voici le lien. Un PDF, en fin d’article, propose d’en savoir un peu plus :

RENNES_LE-BLOSNE_Plaquette_19x23_08-18.pdf


Sur le sommaire, on trouve les chapitres suivant :

C’est donc uniquement en page 31, la dernière du PDF, que l’on trouve quelques infos sur les logements (en construction et en rénovation). Une page sur 31. Et dans les 30 pages précédentes, et c’est une réelle chance pour ce quartier, Rennes Métropole met en avant toutes les richesses qui vont y être apportées, le pole associatif, les parcs, tous les lieux de services de loisirs, les places et squares, et autres structures …

Revenons au bilan de la concertation de la ZAC du Haut-Sancé

Voilà, cela se résume toujours aux logements. A part le centre commercial, qui existe déjà, la municipalité ne parle que de logements, rien d’autre, et pourtant, régulièrement nous les questionnons en ce sens, lors des diverses réunions, afin de pouvoir faire aussi revivre la vie de ce quartier. Nous comprenons bien que la surface n’a rien à voir.

Mais jamais nous n’obtenons de réponses contruites, jamais nous n’avons de retours sur l’évolution de la vie du quartier du Landy et du Haut-Sancé, sur l’ajout de pole associatif ou de pole de vie de quartier pourtant en défaut dans cette zone. Pourquoi ?

Votre avis sur l’urbanisme et les formes urbaines !

Bonjour

Via Twitter, nous avons découvert un formulaire, une enquête sur l’urbanisme et les formes urbaines de notre ville. Avec le parallèle du prochain débat en conseil municipal le 24 juin, c’est un média qui tombe à pic !

Ce formulaire est lancé par RM3, Métropole en Mouvement, Maintenant. Il s’agit d’une association – parti politique, dont le territoire d’action est la métropole rennaise.

Sur leur page « Qui sommes-nous » encore non renseignée, nous y verrons prochainement que cette association est un rassemblement, autour de quelques élus qui siègent à la métropole rennaise. Il vous est possible d’en savoir davantage sur leurs objectifs, en lisant cet article : Une nouvelle ambition pour Rennes et sa métropole.

Nous vous encourageons donc fortement à cliquer sur ce lien, et de passer un petit peu de votre temps sur les 10 pages de ce questionnaire. Cela devrait vous prendre 5 minutes.

Nous vous précisons aussi que certaines questions, assez binaires d’un premier coup d’oeil, peuvent être nuancées dans le champ « Autre ». N’hésitez pas à développer au besoin, comme pour les deux exemples ci-dessous :

Effectivement, par exemple pour la première question, nous, résidents du quartier du Landry, sommes pour une augmentation de la densité urbaine avec préservation de terres agricoles et des espaces naturels, mais modérée, et cohérente avec le quartier environnant qu’est le notre. Il est nécessaire de moduler la réponse pour ne pas rester sur un choix extrême qu’est l’augmentation de la densité de manière déraisonnée.

Aussi, pour la question du type d’habitat, Nous pensons que des collectifs de 5-6 étages correspondent bien à ce que nous pouvons voir sur d’autres axes pénétrant de Rennes. Il est bon de le préciser dans le champ « Autre » car ce choix ne semble par intialement proposé.

Dossier – Nos positions détaillées pour tous

Bonjour,

Nous aimerions partager ouvertement la correspondance que nous avons poussée à tous les membres du conseil municipal avant la session du 1er avril 2019. Ce dossier de 11 pages met en avant toutes les raisons, détaillées, de nos diverses demandes pour que ce dossier de ZAC soit retravaillé avant son approbation.

Son but était simple : Expliquer, à tous les membres du conseil, pourquoi ce dossier modificatif de création de la ZAC du Haut-Sancé, en l’état, ne pouvait être voté ce lundi 1er 2019, sans révisions.

Voici les éléments de cette réflexion :

  • Synthèse des points de contradictions sur le dossier de la ZAC
  • Partie 1 https://homemfarmacia.pt/compra…tugal/. Le secteur Landry
    • Population, statistique logement, équilibre
    • Infrastructures publiques
    • Transport et situation géographique
    • Expériences quotidiennes sur la circulation dans le quartier
  • Partie 2. Eléments de discussion sur la ZAC
    • Hauteur des bâtiments
    • Infrastructures sportives
    • Circulation et transports en commun
    • Déplacements sécurisés entre les zones
    • Processus de concertation et obtention d’un consensus
    • Programmation en logements de la ZAC
    • Densification et Stationnement

Et voici le document, libre à la consultation :

Dossier ZAC du Haut Sance 01042019.pdf

Nous vous le proposons à la lecture directe ici :

Malgré tous ces éléments qui nous semblent à tous, les riverains, justifiés, nous vous rappelons le verdict négatif, dont les conclusions de l’approbation sont décrites dans cet article.

Approbation du dossier de la ZAC du Haut-Sancé

Bonjour,

Lors du dernier conseil municipal du 1er avril 2019, avait donc lieu, comme nous l’avons vu précédemment, l’approbation de ce dossier.

  • Point 65 – DAUH SA ADD-18 : Aménagement et services urbains, environnement – Quartier Francisco Ferrer/Landry/ Poterie – Première modification du dossier de création de la ZAC du Haut-Sancé (ex Châteaugiron-Landry) – Bilan de la concertation – Approbation

Voici le passage en question avec les prises de parole de différents intervenants, l’opposition, les alliances, Mr Sémeril et Mme la Maire :

Evidemment, le résultat de cette approbation, par le concept de majorité et d’alliances (avec le groupe écologiste par exemple) a amené un vote positif de ce dossier modificatif de création de la ZAC du Haut-Sancé.

Nous ne revenons pas, vous l’aurez compris, sur l’intervention de l’opposition. Ils sont en notre faveur. 10:00 – Quant à l’intervention du groupe écologiste, représenté par Matthieu Theurier, le discours est proche de celui de Mr Sémeril :

  • La ligne C1, de bonne qualité, doit devenir un transport en commun en site propre depuis Chantepie vers Rennes République. C’est juste impossible ! Il n’y a plus de place, plus de foncier pour le réaliser. La ville aurait pu le faire en préemptant de l’espace sur les nouvelles constructions privées, mais non, elle n’a pas choisi de le faire.
  • 11:53 – Il parle même d’apaisement de la rue de Châteaugiron, mais elle restera, de par sa nature, une rue pénétrante et principale de Rennes qui ne sera jamais apaisée. Pourquoi avancer de tels mensonges. De plus le concept de plateau piétonnier est tout simplement faux. La place du quartier ne peut pas être considérée comme apaisante pour le trafic routier. Il n’y aura qu’un simple feu de signalisation supplémentaire mais rien de piétonnier. Nous avions demandé une telle infrastructure sur la route, ce que la ville a tout simplement refusé.
  • Re-qualifier le centre commercial. Tout à fait d’accord encore une fois. Nous le désirons tous, nous ne remettons pas ça en cause, c’est hors sujet.
  • 12:41 – La continuité végétale avec le parc du Landry. Ca, permettez nous d’en douter fortement. Une famille se baladant dans le parc du Landry ne va pas poursuivre sa promenade au milieu de tours, j’en doute fortement.
  • La démolition de l’équipement sportif permet la réalisation de la place piétonne. C’est faux. En 2016 lors du premier projet, le gymnase était encore dans le dossier, et cette place centrale aussi.
  • 15:19 – Processus de participation plus que chamboulé. Merci de le reconnaitre, car la Maire et Mr Sémeril ne le conçoivent pas du tout. Et nous n’avons aucune possibilité de le faire contester.

16:15 – Puis c’est au tour de Mr Sémeril de prendre la parole.

  • Pour lui le seul débat concerne la démolition du gymnase farmacie-romania.com.
  • 16:50 – Il parle ensuite, qu’au cours de l’enquête publique, « la Maire a fait le choix de revenir [ndlr : sur le projet initial] parce que nous avons écouté les habitants ». Il fait ici référence à la diminution des hauteurs suite à la proposition incroyable en avril 2018 (R+16 etc, 580 logements…). Nous vous invitons à lire cet article qui met en avant ce jeu de charme envers les commissaires de l’enquête publique. Ils nous prennent vraiment pour des imbéciles.
  • Il met toujours en avant la concertation sur ce projet. Mais la ville continue de penser que les 660 personnes (lien) du quartier lors de l’enquête publique et les plus de 500 personnes (lien), toujours du quartier, qui ont manifesté leur mécontentement sur la densité, ne représentent qu’une poignée d’habitants. Il est incroyable de toujours nier que la quasi-totalité du quartier est contre ce nombre de 500 logements.
  • 17:55 – Ensuite, il parle de l’équation complexe qu’est le logement à Rennes. Nous sommes tout à fait d’accord que c’est extrêmement compliqué, avec toutes les problématiques qu’il faut prendre en compte. Mais nous avons régulièrement mis en avant des faits pour lesquels nous n’avons jamais eu de réponse ! Pourquoi nier ces questions : Pourquoi sur-construire par rapport aux objectifs déjà ambitieux (lien) ? Pourquoi nier le fait que c’est aussi la politique de logements de la ville qui fait exploser les prix de l’accession libre (lien) et qu’à cause de cette politique, les promoteurs doivent réaliser plus de logements que nécessaire sur la surface du projet (lien) ?
  • 18:46 – Il affirme ensuite que « … sur les projets de construction, sur 95% des surfaces déjà existantes, à aucun moment, nous avons eu une contestation…« . Nous sommes donc les seuls à nous battre, les seuls à contester un projet. Encore une belle manière de nous prendre pour des imbéciles, tout comme les collectifs et associations qui se sont jointes à notre cause.
  • Ensuite, il dérive un peu sur les transports, du hors sujet que nous ne contestons même pas : « Nous n’avons pas entendu de contestation sur la ligne b du métro ». Il faut bien meubler le discours récurrent. On en profite pour rappeler que nous sommes à 1.2km de ce métro, donc que les futurs habitants n’emprunteront pas régulièrement cette ligne.

24:42 – Et puis Mme la Maire, de finir. Nous rappelons que depuis 2016, c’est la premier fois, oui la première fois, et cela malgré une demande d’entrevue, qu’elle s’exprime sur le sujet.

  • Elle met en avant : Le pilier social, la capacité à chacun, quelque soit les revenus, à pouvoir se loger à Rennes. Rareté => Chereté => Exclusion. Elle revient donc sur le PLH et la répartition des logements sociaux/aidés/maitrisés/libres. C’est une bonne chose, mais nous avons expliqué son effet pervers ici. De plus, notre quartier est l’un des rares à présenter une mixité sociale équilibrée. Que dire du quartier de Mr Sémeril ou de Mme Appéré, où le social manque cruellement.
  • 26:00 – Elle parle ensuite du pilier démocratique. Pour elle, il y a eu une concertation tout à fait exemplaire. Comment prendre les riverains de nouveau pour des imbéciles, et de manière exemplaire. Elle revient sur les ateliers de 2016 au cours desquels elle affirme que le consensus a été parfaitement atteint. Elle aurait du venir à la dernière réunion du 19 mars, entendre ces mêmes personnes affirmer le contraire.
  • 27:21 – Elle confesse ensuite l’erreur suivante, le petit retour sur les propositions alternatives de 2018 qui ont « troublé » les riverains. Nous n’y reviendrons pas.
  • Au nom du respect de l’engagement des habitants, ils reviennent en arrière. voilà uniquement ce que représente la concertation pour Mme la Maire.
  • Elle considère qu’elle est totalement respectueuse des procédures de concertation qu’elle a lancée. Mais que maintenant cela suffit, on doit fermer notre bouche, pour être poli.
  • 28:36 – Enfin, tout comme Mr Sémeril, elle aussi considère que ces oppositions ne sont pas celles de tous les habitants, mais celles de quelques habitants. Elle constate qu’un certain nombre d’habitants s’oppose et cela ne peut pas invalider la concertation.

Même si ce résultat entre dans la logique de la majorité, cette séance du conseil municipal est une belle déception, accompagnée d’une frustration de ne pouvoir réagir lors des prises de parole, qui enchainaient des points non fondés, honteux et mensongers.

On note aussi qu’il n’a jamais été question du cadre de vie et de la qualité des engagements ressassés pour rennes 2030.

Le travail n’est pas finit, nous avons encore des actions en cours, dont le débat sur la densité et la cohérence des quartiers, prévu le lundi 24 juin 2019 au conseil municipal et que nous devons travailler.

Inscription à l’ordre du jour du conseil municipal de juin de notre demande de débat

Bonjour,

Depuis peu, nous nous sommes rassemblés entre plusieurs collectifs/associations pour mettre du poids dans notre démarche initiale – Plus d’informations ici.

Notre message est le suivant :

  • Pour que les élus de la majorité municipale de Rennes tiennent compte des remarques exprimées par les rennais attachés à leur cadre de vie, pour préserver la cohérence des quartiers, limiter la hauteur maximale des constructions principales et accueillir correctement les nouveaux habitants, nous souhaitons atteindre les 1000 signatures pour inclure ce sujet qui nous touche tous, et le traiter en conseil municipal de la ville de Rennes

Et c’est la semaine dernière que ces 1000 signatures ont été dépassées, une belle victoire ! Nous avons profité de notre question lors du dernier conseil municipal du 1er avril 2019 pour mettre en avant cette étape et pour demander officiellement une interpellation dans le cadre de la charte de démocratie locale de Rennes (page 13).

Voici la réponse de Nathalie Appéré en lien avec cette demande :

Que dire de cette réponse, et surtout de son ton. Certes, nous avons ce créneau et il semble que depuis 15 ans cela n’ait jamais été fait à Rennes, donc cette étape est réellement importante à nos yeux. Nous ne manquerons pas d’y travailler et d’y associer les nombreux contacts que nous avons depuis le début de cette action.

Néanmoins, Madame la Maire avance que rien n’est nouveau et tout a été largement étudié et débattu, en long et en large, depuis (entre autres) le début des travaux sur le PLU (3 années). De plus, elle se sent obligée d’appliquer avec bienveillance cette charte (1:23).

  • Nous vous rappelons la définition de bienveillance : Capacité à se montrer indulgent, gentil et attentionné envers autrui d’une manière désintéressée et compréhensive.

Bref, merci à tous les signataires de cette pétition, que ce soit sur papier ou sur internet !

Le rendez vous est pris pour le lundi 24 juin 2019 à 17h !

Intervention au conseil municipal du 1er avril 2019

Bonjour,

Lors du conseil municipal de Rennes du 1er avril 2019, le dossier modificatif de création de la ZAC du Haut-Sancé a été soumis à approbation. Nous sommes alors intervenu, lors de la session question/réponse afin de proposer, évidemment, de voter « non ».

Voici le texte de notre intervention :

ZAC - Intervention au 1er Avril.pdf

Et voici le passage vidéo en question accompagné de la réponse de Mr Sémeril. Une réponse qui ne mérite pas beaucoup de commentaires aujourd’hui.

Il revient sur le courrier de réponse qu’il nous a soumis suite à une demande de rencontre avec la Maire. Nous avons constaté sa réponse sur cet article là.

Il revient sur la validation à l’unanimité des 500 logements en conseil municipal en 2016. Chose que nous n’avons pas suivi, faute de communication de la ville, faute de connaissances du système.

500 logements est une densité moyenne pour Mr Sémeril, équivalent à 108 logements/hectares, une densité normale présente sur plusieurs zones rennaises. Il revient sur le lotissement rue Victor Rault. Nous en avons parlé ici.

Puis il revient sur le même discours, entendu des dizaines de fois. Avançant des points contestables dont nous avons mis en avant les fragilités, dans les divers articles du blog.

Compte rendu de la réunion publique du 19 mars 2019

Bonjour,

Mardi dernier à 19h00 a donc eu lieu la dernière réunion publique au Triangle, avec Mr Sémeril, Mme Debroise, un représentant du cabinet CoBé et de l’agence « LIN » de Berlin. Malgré le jour et l’heure proposés pour cette réunion, la salle était correctement remplie et nous avons pu écouter la présentation de l’avancé du projet. Voici un petit compte rendu.

Lien vers le document présenté à cette réunion : Cliquez ici

Tout d’abord une introduction

Un petit rappel du contexte, avec la remise en avant de la première création du dossier de la ZAC en 2016, et la nouvelle procédure de modification de ce dossier qui s’achèvera au prochain conseil municipal le 1er avril. Pourtant, Mr Sémeril ne cache pas que le projet serait déjà entériné. Déjà, l’audience réagit…

Principaux thèmes/remarques relevés

Comme nous pouvons le voir sur l’image, quelques thèmes sont bien notifiés, néanmoins il manque le plus important, chose que nous lui avons fait remarqué par la suite (mais nous y reviendrons) qu’est le nombre de logements.

La fonction commerciale

Petit passage rapide mais primordial ici pour rappeler l’importance de ce projet en ce qui concerne le fait de redynamiser la fonction commerciale du quartier. La dessus, nous sommes tous en phase, depuis toujours d’ailleurs. Et il est bien dommage que les commerçants en activité subissent les retards.

Le nombre de 500 logements

Pour la ènième fois, encore le même discours nous tombe sur les épaules. Rennes ne doit pas être une machine à exclure, il faut accueillir les gens, et surtout qu’ils puissent se loger etc. Il revient sur cette répartition social/aidé/maitrisé, nous y reviendrons.

Les hauteurs du projet

Petit slide pour y déposer une nouvelle fois les hauteurs retenues. Un R+9 le long de la rue de Châteaugiron, puis ensuite, pas mal de R+7 du R+6 puis on descend progressivement. Soit disant la même chose que leur fameux « consensus » de 2016, alors que non…

L’aménagement du projet

Cette présentation, relativement courte au final, se conclue par quelques éléments structurant le projet. A savoir le lotissement, la position des bâtiments, les voies créées etc.

La place centrale

Quelques informations sur cette place qui se veut centrale, unifiante, entourée de commerces au rez-de-chaussée des immeubles avoisinant. Quelques exemples sont proposés.

La place pour un équipement sportif

Un énorme flou encore ici pour l’équipement sportif qui va donc disparaitre. Ce qui est proposé semble un peu étrange et mal adapté à l’environnement de la zone. Ce n’est plus une salle qui serait positionnée, mais un équipement ludique, ouvert, certes esthétique, mais qui nous semble, comme nous avons pu l’entendre plusieurs fois lors des réunions, incompatible avec une vie calme de quartier. Cette zone sportive qui ne pourrait être que bruyante de par sa fonction viendrait déranger les habitants des tours avoisinantes.

Le lien vers le quartier Nord

Les deux illustrations proposent des exemples de transition entre la zone basse et la zone haute. Effectivement, il existe un petit dénivelé entre la partie proche de la rue de Châteaugiron et le reste du quartier.

Les lots et les tours

La présentation s’achève avec un plan de masse assez similaire à ce qui avait été présenté en juin 2018. Vous pourrez y voir les différentes zones, plus ou moins hautes, plus ou moins denses.

Partie échange, questions/réponses

Et c’est donc à ce moment que l’assistance a pu retrouver l’ambiance des réunions précédentes. Nous notons néanmoins une variante; Autrefois, c’est nous, habitants, qui étions un peu plus dans l’affront et les élus dans le calme, cette fois-ci, c’était l’inverse. Nous avons su garder un certain sang froid, nous étions posés. et nous sentions les élus un peu plus agacés.

Agacés car nous les avons interrogés sur des points qui nous touchaient particulièrement et nous n’avons eu aucune réponse. Et un à un, les habitants du quartier leurs faisaient remarquer cette non réponse. Même de la part d’habitants proches au projet et qui venaient à une telle réunion pour la première fois.

Les points remontés étaient principalement :

  • La densité de 500 logements : Malgré des remarques fondées et liées à la surenchère de livraison de logements (comme expliqué ici) ou à la politique d’habitation (expliquée ici), Mr Sémeril n’a jamais répondu directement à ces questionnements et a recommencé son discours électoral en affirmant que sans tout cela, Rennes sera une machine à exclure. Notez qu’on ne demande pas de ne rien faire mais juste d’être plus raisonné vu les chiffres précédent.
  • La circulation voiture et bus : Ici aussi, aucun ajout par rapport à ce que les techniciens de la ville avaient remontés en octobre 2018 (expliqué ici). Tout va bien, et le projet ne changera rien à cela. Donc pourquoi réduire la densité du coup !?
  • Remarque intéressante d’un habitants : En effet, quelqu’un a remonté que la ville a précédemment eu le choix de pouvoir élargir la rue de Châteaugiron pour y dédier une voie de bus plus longue. Notez que nous n’avons eu aucune réponse de Mr Sémeril la dessus. En effet, la ville aurait largement pu préempter un peu d’espace sur tous les programmes immobiliers de cette rue pénétrante et majeure, mais non, il semble préférable que les immeubles soient presque sur la rue tellement les trottoirs sont inexistants.
  • Les hauteurs : Il en a été question encore, évidemment. Mais comme tout le monde semble le croire, ce n’est vraiment pas la première préoccupation des habitants du quartier, ce que met Mr Sémeril pourtant systématiquement en avant. Les hauteurs impressionnent, mais si peu par rapport aux autres soucis, comme la densité.
  • Faire un pari : C’est ce que Mr Sémeril fait mot pour mot sur le quartier. Il parie sur notre confort de vie, le confort des futurs habitants, tranquillement. « Ouais, ça va le faire, je le sens bien« . Non mais où va t-on ?
  • Le consensus : Encore une fois, les élus ont mis en avant leur soit-disant consensus de 2016. Nous ne l’acceptions toujours pas. Cette fois-ci d’autres personnes ont contesté ce fait. Même celles qui avaient participé aux ateliers de travail. Eux-aussi contestent cette validation du consensus. Mais on refuse toujours de nous entendre.
  • Comparaison avec le Blosne : Mr Sémeril affirme que le quartier le moins dense de Rennes est le Blosne. Pourtant je vous invite à regarder ce lien là, une étude d’Audiar, qui montre que la densité de ce quartier est globalement à 66 habitants par hectare, alors que celle-ci rend compte de la présence de vastes espaces verts. Dans le détail, la densité moyenne se situe plutôt autour de 100 à 150 hab/ha si l’on exclue les secteurs agricoles situés au-delà de la rocade. Et ceci sans le projet à venir sur ce secteur qui va encore augmenter cette densité. Voyez vous même une illustration de la nouvelle ZAC du Blosne que l’on peut voir sur le site Urba-rennes.fr. Cet exemple est donc contestable, question densité, une fois ce quartier renouvelé. Lien vers les densités issues des rapports d’Audiar.

La suite du projet ?

Elle est encore très floue et incertaine, surtout que l’une des dernières phrases de Mr Sémeril dans cette réunion fut « Je suis élu jusqu’en 2020 ! » ce qui ne nécessite pas de commentaires, belle notion de concertation encore une fois… Nous avons les dates ci-dessous, et nous savons aussi que le dossier de modification de création de la ZAC du Haut-Sancé sera voté au prochain conseil municipal qui aura lieu le lundi 1er avril 2019. Nous y serons d’ailleurs, pour poser encore nos questions.

En attendant la suite des évènements que nous ne manquerons pas de vous faire découvrir, pensez toujours à la pétition : Tous les détails ici. N’oubliez pas de la communiquer aux rennais qui sont aussi impactés.

Echange courrier avec Mme La Maire Nathalie Appéré

Bonjour,

Nous, collectif d’habitants proches de cette ZAC, avons travaillé sur un courrier, avec l’Association de Défense du Haut-Sancé, afin d’interpeler Madame Nathalie Appéré et espérer la rencontrer physiquement, ainsi qu’avoir son point de vue et son argumentaire sur nos revendications.

Envoyé le 1er mars 2019, vous pouvez consulter le courrier dans le lien suivant :

Dans ce courrier, nous revenons sur un grand nombre de points que nous souhaitions pouvoir parcourir avec Madame La Maire. Nous ne l’avons jamais rencontré jusqu’à présent, alors que le sujet est on ne peut plus épineux et contesté, et que le seul et unique intervenant de la municipalité élue que nous ayons est Mr Sébastien Sémeril.

Après quelque temps d’attente, nous venons de recevoir un courrier, ce 11 mars 2019, nous aimerions le découvrir et l’étudier avec vous, le voici :

Qu’en est-il, reprenons ensemble les axes de sa réponse :

Réponse non pas de Mme La Maire mais de Mr Sémeril

Nous croyons que le message n’est pas passé. Nous avons échangé (plutôt tenté d’échanger) avec Mr Sémeril depuis plus de trois ans maintenant. Et les nombreuses contestations sur le projet ne semblent pas l’atteindre. Via cette lettre, c’est Madame La Maire que nous voulions interpeller, rencontrer et, dès le début de la lettre nous pouvons lire : « Elle [ndlr Nathalie Appéré] m’a chargé de vous répondre. » Première grosse déception.

Un rappel de la prochaine réunion d’information

Vous trouverez toute les infos ici : Article Réunion Information

Adoption en conseil municipal du dossier de création de la ZAC

Nous y reviendrons dans quelques lignes, mais à l’époque, étant de simples citoyens ne connaissant pas les ficelles du métier, nous n’avons eu aucun retours ni sur ce vote, ni sur sa date.

Suite à la réunion de présentation de 2016 (article) aucune information d’état, de réalisation, de prise de décisions, strictement rien, n’a transpiré de la municipalité vers les habitants du Landry, et ceci, pendant deux ans !

Conservation de l’équipement sportif existant

Pour cet aspect sportif, lors de la réunion de concertation du 6 octobre 2018, nous avons bien remonté que cela allait créer un manque important au sein de la zone si cet équipement sportif était voué à disparaître.

De la réponse de Mr Sémeril, il semble que cela ait été entendu, et nous espérons que l’avenir de la salle de sport reviendra lors des prochaines réunions

Présentation aux habitants des nouvelles propositions – Printemps 2018 & Rappel du PLU – Le zonage UO de la zone

La municipalité serait revenue vers nous pour revoir les hauteurs. Nous ne nous étendons pas plus sur ce sujet traité plusieurs fois et décrit dans cet article que nous vous encourageons à relire.

Pour nous, il est évident que cette opération de réduction de la hauteur des tours entre avril, juin et octobre 2018 ne fut qu’une opération de séduction des commissaires de l’enquête publique. Et le pire, c’est que cela a fonctionné.

Le tissu alentour est hétérogène, traiter finement avec l’existant

Ces deux aspects suivants sont donc synonymes de « tissu hétérogène »

Bon et bien il doit s’agir d’un tissu moderne avec 50% d’élasthanne de telle façon qu’il s’étire encore mieux que précédemment. Non mais soyons sérieux une seconde.

La ZAC de Baud-Chardonnet, que Mr Sémeril doit approuver et aimer car le chantier a été lancé et se déroule actuellement, est une catastrophe urbaine, comme nous avons pu l’entendre de la bouche d’un architecte travaillant sur Rennes. Il serait réellement intéressant connaitre le pourcentage de rennais qui trouve cette ZAC réussie, d’un point de vue bâtiments (nous ne parlons que de la partie logements/bureaux, pas du parc qui heureusement donnera de l’air aux habitants de ce quartier). Car avec toutes nos rencontres depuis plusieurs années, personne n’a jamais remonté un attrait pour cet ensemble immobilier, à part quelques architectes ou promoteurs.

Donc oui, nous sommes on ne peut plus inquiet pour cette ZAC du Haut-Sancé, une fois qu’elle sera achevée si nous partons sur ces bases. Car vu les chiffres avancés, je suis persuadé que le résultat ne pourra être que trop imposant par rapport au quartier environnant et que nous aurons que nos yeux pour pleurer.

L’ensemble des documents sont en ligne

Il est fort regrettable que nous devions à chaque fois quémander ces documents auprès de la marie. Sans cela, ils mettent un temps incroyable à nous les fournir. Et quels documents… Si un employé proposait de telles « synthèses » sans aucun argumentaire sur son lieu de travail, nous pensons qu’il aurait quelques remarques de ses supérieurs.

Thématique de la pollution des sols

Nous n’avons, en ce jour, toujours aucune information sur la pollution de cette station service. Si les études réalisées à ce jour ne révèlent pas d’incompatibilité, il serait très convenable de leur part de nous faire suivre le résultat de ces études, chose que nous demandons depuis des mois.

Dépollution de la station Total

Il est très intéressant d’apprendre que c’est Total qui se doit de « réaliser des investigations et de remettre en état le site pour un usage identique« . Puis que le promoteur, par la suite, devra lui aussi « conduire des études complémentaires« . Nous ne manquerons pas de nous y intéresser.

Programmation validée dans le dossier de création initial de 2016

Encore un dialogue de sourd. Pourtant le fait que, ce « consensus » soit largement contesté, comme nous l’avons encore rappelé dans le courrier, ne semble pas parvenir aux oreilles de la municipalité. C’est assez incroyable de ne pas entendre les citoyens de sa propre ville.

Comparaison avec programme Rue Victor Vault

Pour précision, la densité affichée de la ZAC du Haut-Sancé est de 114 logements/ha (source) et de plus, en considérant qu’il n’y a aucun espace vert sur cette zone (Sinon cela augmenterait cette densité).

Ensuite, son exemple est très intéressant. Nous allons reprendre le collage mis en avant dans un article précédent. On peut y observer les secteurs où l’implémentations des logements sociaux est plus ou moins bien représentée.

Et étrangement, alors que la zone habitées par des élus est une zone où le logement social est sous-représenté et où aucun projet de cette nature voit le jour, ce projet immobilier de 140 logements (voir encadré rouge), dont au moins 60% seront à prix très encadrés (<2800 euros le mètre carré), se positionne pile poil au milieu d’un secteur où le logement social est suffisant et où il faut développer le logement libre. Nous remarquons même que le premier bâtiment livré est en pure social (source). Il semblerait que ça soit un mauvais choix d’exemple…

Etude d’impacts

Nous avons de nouveau interrogé la municipalité sur l’importance d’avoir une réelle étude d’impacts. Car suite à la réunion de concertation d’octobre 2018 (conclusions ici) nous étions estomaqués devant les retours dépourvus de réelles analyses (à part pour le groupe scolaire). Mais apparement, ici aussi le message ne remonte pas.

Circulation des voitures et bus

Même ressenti que précédemment sur la mise en avant de chiffres qui ne permettent en rien de savoir si ce trafic supplémentaire aura un impact modéré. La seule chose qui en ressort est qu’il sera bien modéré oui, mais sur une situation déjà bloquée sur cet axe là.

Il est dit que l’ensemble des voies internes seront limitées à 30 km/h comme le reste du quartier. Oui mais des inquiétudes existent. Plusieurs remontées ont été faites à la direction de la voiries pour signaler des vitesses excessives des voitures dans la zone. Mais cela ne semble pas donner de suites. Qu’est ce ce cela sera avec ces 1500 habitants supplémentaires ?

Des mesures de vitesses, sur la zone la plus lente de l’Avenue Georges Henri Rivière (entre deux chicanes) ont montré que :

  • 20% des voitures roulent plus vite que 40 km/h,
  • 3.5% de véhicules au dessus de 50 km/h

Il est bon de savoir qu’aux extrémités de cet axe, hors chicanes, les voitures roulent encore plus vite. Et ces résultats sont, pour cette direction, « normaux » pour cette zone. Une zone purement pavillonnaire et bourrée d’enfants. Rien de plus ne sera fait.

Enfin les bus

Mr Sémeril avance que cette liaison « est assurée par deux lignes Chronostar (C1 et C2) avec un couloir bus dédié au droit de l’opération« . Pourtant, nous n’arrêtons pas d’essayer de lui faire comprendre que sans couloir dédié de bout en bout de l’intégralité de la rue de Châteaugiron, les bus seront de facto soumis aussi aux embouteillages, cela parait simple à comprendre pourtant, mais il s’avère que non.

Encore une déception sur la communication, sur la concertation avancée par la municipalité élue. Et surtout, le but de ce courrier est totalement omis : aucune réponse de Madame La Maire et aucun rendez-vous avec elle en perspective.

Mr Sémeril revient toujours sur les mêmes bases, sur un discours établi et non ouvert aux habitants. Il devient incompréhensible qu’il puisse continuer de mettre en avant son soit disant consensus de 2016 alors qu’à chaque rencontre, il subit les foudres d’une majorité des habitants du quartier.

La réunion du mardi 19 mars 2019 risque d’être tendue….

Gros plan sur le projet politique d’urbanisation de Rennes

Bonjour,

Nous aimerions aujourd’hui amener une réflexion sur les choix de la ville en termes d’habitation et de quota sur ces logements.

La loi Solidarité et renouvellement Urbain, dite loi S(é)RU, votée en 2000, renforcée en 2013 par la loi ALUR, impose un quota de logements sociaux dans les communes carencées, afin de répondre à la pénurie de logements sociaux.

Au sein de cette loi, et c’est très bien, qu’apprenons nous en termes de mesures sur la production de logements sociaux : svensktapotek.net

  • Que toutes les communes de + de 3.500 habitants comprises dans une agglomération de + de 50.000 habitants, doivent posséder un quota de 25% de logements sociaux en regard des résidences principales.

La ville de Rennes n’est pas en pénurie de logements sociaux, pourtant, il est très intéressant de savoir qu’elle impose aujourd’hui, aux promoteurs immobiliers, en plus des 25% de la loi SRU, 35% d’autres logements aidés, portant ainsi la part de social/aidé à 60% dans toutes les opérations immobilières.

En effet, nous apprenons dans Le Plan Local de l’Habitat de Rennes Métropole 2015-2020 (disponible ici), page 40, que :

  • 25 % de la production globale de logements sera dédiée au logement locatif social
  • La fluidité du parc social sera par ailleurs favorisée par le maintien d’une production conséquente de logements en accession aidée, avec un objectif de 15 % du flux des livraisons
  • La production globale des logements se déclinera enfin par la livraison d’environ 20 % de logements « régulés »
  • Ainsi, les logements aidés et régulés représenteront 60 % de la production nouvelle […] contre 50 % dans le P.L.H. précédent.

Mais le plus important à savoir est que sur ces 35% supplémentaires dits « aidés », la municipalité impose le prix de vente au m². Ainsi, certaines personnes, sous conditions de ressources évidemment, peuvent bénéficier d’un prix au mètre carré ne dépassant pas les 2800 euros pour l’accession à prix maitrisé (Page 105), même en plein centre-ville (2000 euros pour les logements sociaux, 2500 euros pour l’accession aidée – Page 100 – Source).

Du fait de ces prix très encadrés et nous le rappelons, imposés par la municipalité, c’est alors sur les 40 % restant des projets immobiliers que les promoteurs doivent, du fait du prix fixe du foncier que la ville demande à Rennes, et pour conserver leur marge (à contester ? C’est un autre sujet), augmenter les prix des accessions libres jusqu’à atteindre des records à 5000 voire 6000 euros du mètre carré.

En exemple récent, car il y en a plein, les prix de l’accession libre sur le projet « Ascension Paysagère » – Ilot de l’Octroi en bout du Mail François Mitterrand, où la moyenne est de 5500 euros le m² jusqu’à 10000 euros le m² pour les plus grands appartements (Lien Giboire)

Ce que nous notons, avec ces éléments, et grâce à un peu d’arithmétique, est qu’à l’inverse de ce que la municipalité nous avance à chaque discours :

  • Ce n’est pas à cause d’une, soit disant, envolée naturelle des prix au m² qu’ils doivent trouver des solutions pour loger les moins aisés.
  • Car nous observons mathématiquement que ce sont aussi eux qui font s’envoler les prix en imposant ce pourcentage de logements aidés et régulés à 60%.

Aider les personnes moins aisés c’est très bien, la loi est là pour ça, et c’est parfait. Tout le monde a le droit au logement. Mais imposer un tel pourcentage de logements sociaux/aidés/régulés (60%), pour certains projets, semble alors hors norme et provoque cet écart des prix qui devient aberrant.

Pour conclure sur notre cas, du fait de :

  • Cette sur-abondance de logements livrés (Article en parlant ici),
  • Que le besoin de logements sociaux ne soit pas aussi important que la municipalité le dit (Il faut relativiser le taux réglementaire de 20% atteint et qu’au 1er janvier 2015, la ville de Rennes totalisait 8 156 logements vacants soit 6,6 % du parc total de logements)
  • Et que ce taux de 60% crée une envolée des prix de l’accession libre

Il nous semble légitime de penser que le projet de la ZAC du Haut-Sancé, comme régulièrement demandé (mais toujours sans réponse) soit revu en termes de densité et descendu à 300 logements maximum comme vendu initialement par Catherine Debroise (Il était même question de 200 logements).

La pétition prend plus d’ampleur !

Bonjour,

A force de discuter, d’échanger sur les réseaux sociaux, de se déplacer pour tel ou tel évènement, nous rencontrons du monde et nous nous rendons compte que beaucoup d’entre eux partagent notre point de vue.

Non seulement nous avons de nombreux retours qui nous encouragent sur notre action, mais nous rencontrons aussi d’autres collectifs et d’autres associations qui mènent un combat semblable.

Je parle par exemple de :

Nous nous sommes donc fédérés sur notre action commune, cette action décrite au sein de cet article. Le texte de la pétition, dont le but reste strictement le même, a été revu pour englober ce message commun et mettre en avant notre objectif actuelle.

Pour que les élus de la majorité municipale de Rennes tiennent compte des remarques exprimées par les rennais attachés à leur cadre de vie, pour préserver la cohérence des quartiers et limiter la hauteur maximale des constructions principales, et d’accueillir correctement les nouveaux habitants,

Signez la pétition afin d’atteindre les 1000 signatures pour inclure ce sujet qui nous touche tous, et le traiter en conseil municipal de la ville de Rennes!

Pétition disponible en ligne sur http://bit.do/densiterennes